La violence contre la police est inacceptable !
Une fois de plus, il y a des victimes !
Nous exigeons :
✓ Plus de respect de la part de ce gouvernement Vivaldi
✓ Plus de respect de la part du pouvoir judiciaire
✓ Plus de respect pour la police
La violence contre la police est inacceptable !
Une fois de plus, il y a des victimes !
Nous exigeons :
✓ Plus de respect de la part de ce gouvernement Vivaldi
✓ Plus de respect de la part du pouvoir judiciaire
✓ Plus de respect pour la police
Aujourd’hui, lors du comité supérieur de concertation 318, la circulaire GPI a été discutée concernant le report des congés de 2022 et l’octroi de certains congés en 2023.
Le congé de vacances non pris de 2022 peut être pris sans condition jusqu’au 31 Décembre 2023 pour tous les membres du personnel des services de police. A partir de l’année 2023, sauf circonstances exceptionnelles, tous les membres du personnel de la police intégrée pourront prendre le résidu de leurs jours de congé jusqu’au 31 mai y compris de l’année calendrier suivant l’année calendrier pour laquelle le congé annuel de vacances est accordé.
En 2023, deux jours fériés légaux (1er janvier 11 novembre) coïncident avec un samedi ou un dimanche.
Il est proposé de fixer deux jours, pour l’ensemble des membres du personnel des services de police, le 19 mai et le 3 novembre 2023.
Bien que le gouvernement ait lié la mise en œuvre du volet quantitatif de l’accord sectoriel à la mission donnée à la ministre de l’Intérieur visant la production d’un scénario d’extinction du régime NAPAP (jusqu’à 2030 inclus), on lit déjà dans les notifications budgétaires 2023- 2024 un calendrier détaillé jusque dans les moindres détails …
Les crédits prévus pour l’accord sectoriel GPI tant de la police fédérale que de la police locale sont bloqués dans l’attente de la validation du Conseil des ministres d’un projet d’arrêté royal de la ministre de l’Intérieur relatif à l’extinction du régime NAPAP, d’après le schéma suivant (échelonné jusqu’à 2030) :
Les moyens budgétaires libérés sur la base du calendrier d’extinction ci-dessus seront utilisés pour financer l’accord sectoriel.
Il ressort clairement de cet extrait des notifications budgétaires que les ministres libéraux de ce gouvernement se sont fait un devoir absolu de ne détruire QUE le régime NAPAP de la police intégrée, alors que dans d’autres secteurs publics, les âges de pension plus favorables et les systèmes de congé de préalables à la pension ne sont pas touchés .. Cela contraste avec les accords précédents.
Nous réfléchissons dès à présent, avec les autres syndicats, aux premières actions !
Aujourd’hui, les organisations syndicales représentatives ont été invitées au cabinet de la ministre de l’Intérieur dans le cadre de l’accord budgétaire du gouvernement fédéral annoncé hier 11 octobre 2022.
Les négociations sur la partie qualitative ont été conclues le 28/01/2022 avec un protocole d’accord signé selon lequel tout entrerait en vigueur à 100% le 01/01/2023. Malheureusement, le gouvernement en a décidé autrement …
La partie quantitative (financière) de l’accord sectoriel sera donc mise en œuvre en trois phases :
En outre, le gouvernement a décidé d’en bloquer le financement dans l’attente d’un arrêté royal portant la suppression progressive du régime NAPAP. Concrètement, cela signifie que la ministre de l’Intérieur doit prendre un arrêté royal avant le 01/10/2023 afin que le régime NAPAP s’éteigne complètement d’ici à 2030.
Malgré le fait que l’arrêté royal relatif au régime de fin de carrière des agents du cadre opérationnel de la police intégrée s’applique jusqu’à l’harmonisation de tous les régimes de « préretraite » du secteur public fédéral, les ministres libéraux n’ont pas pu s’empêcher de torpiller notre régime NAPAP. D’autres ministres, en charge de secteurs où la réglementation sur la retraite anticipée ou l’âge de la retraite est encore plus favorable que notre NAPAP, regardaient ailleurs, très probablement jubilant intérieurement.
Mais ce gouvernement a décidé. Une décision qui ne respecte pas ce qui a été négocié et signé par un de ses propres membres, pourtant dûment mandaté par ses « estimé(e)s » collègues, à savoir la ministre de l’Intérieur.